Extrait de SENS DESSUS DESSOUS
Après l'expérience de Bruxelles, j'ai eu l'occasion une nouvelle fois de donner la fessée en public, dans des circonstances qui se sont révélées bien plus agréables et satisfaisantes.
Une femme répondant à l'exquis nom d’Amanda avait eu vent de mes activités. Elle m'a écrit pour me proposer de participer au prochain séminaire qu'elle organisait pour son groupe de femmes. Le thème de ces rencontres était la sexualité sacrée.
J'étais aussi étonné que troublé, mais totalement ravi.
J'ai toujours estimé que ma façon de pratiquer la fessée érotique avait dimension spirituelle : l'abandon, le dévouement absolu, l'oubli de l'ego dans la quête idolâtre du plaisir de l'autre... Tout cela va bien au-delà de la recherche d'un plaisir passager ou de l'assouvissement d'un fantasme.
Pour moi qui adore les femmes, parler de ma passion devant un auditoire exclusivement féminin serait évidemment un enchantement.
Amanda suggérait que ma présentation se compose en trois parties :
- Un exposé avec des projections de diapositives.
- Un dialogue avec l’auditoire.
- Une démonstration pratique.
Je lui ai immédiatement signifié mon accord. Elle m'a proposé un rendez-vous pour en parler.
Lorsque j'arrive chez elle, je découvre une superbe femme aux formes sculpturales. Son teint et sa longue chevelure bouclée me font penser qu'elle est d'origine orientale. Elle porte une longue et vaste robe indigo ornée de fils d'or. Les plis se croisent au niveau du ventre et laissent ainsi un espace dévoilant son nombril ; ils se terminent en se nouant derrière sa nuque. Le décolleté est relié par des lanières et laisse voir la racine de ses opulents seins. Son visage est savamment maquillé : yeux soulignés de noir et de bleu, lèvres écarlates.
Le moins que l'on puisse dire est que je suis troublé. Elle m'invite à m'asseoir sur un pouf et me propose un thé à la menthe. Quand elle prend place en face de moi, sa robe doublement fendue s'écarte. Elle ne se prive pas d'exhiber ses magnifiques cuisses. Tout cela est insolite pour moi et j'avoue être assez intimidé. Son sourire espiègle montre qu'elle l'a parfaitement saisis. Elle m'explique en long en large ce qu'elle fait, le groupe de femmes qu'elle anime, sa dévotion à au féminin sacré dont elle se considère comme une prêtresse. Tout cela me passionne, mais j'avoue avoir de la peine à l'écouter, tant sa sensualité est envoûtante. Nous échangeons à propos de la dimension spirituelle de ma pratique qu’elle dit avoir pleinement perçue à la lecture de mon site. Nous en venons à ma présentation. Elle me demande si j'ai des images à projeter pour ma présentation. Je réfléchis et lui répond que le mieux serait d'illustrer mon propos avec une unique image d'un majestueux derrière féminin. Je lui montre l'image sur mon smartphone. Elle approuve.
Pour la deuxième partie, je répondrai à toutes les questions, sans limite. Je crois que j'arriverai à surmonter mon trouble et pourrai le faire aisément.
Pour la troisième partie, je lui confirme que je suis prêt à le faire. Mais il reste à trouver une partenaire. Je me vois mal demander cela à une de mes complices.
Avec un grand sourire, elle me déclare :
- J’ai trouvé la volontaire.
Elle continue à me regarder fixement. Je crois comprendre son intention. La gorge nouée, je demande :
- Vous ?
- Bien sûr! ... On pourrait faire une répétition tout de suite.
Quel bonheur de prendre cette splendide femme sur mes genoux !
Je caresse ses fesses à travers sa longue robe qui me change des habituelles jupes cintrées. C'est un peu plus ardu de trouver les points névralgiques, mais cela me plaît beaucoup. Je sens son excitation monter rapidement. La première claque est bien accueillie, elle est rapidement suivie d'autres. Je remonte fébrilement les longues étoffes pour découvrir finalement une délicieuse culotte faite également de tissage doré.
Je claque rapidement les espaces de peau nue pour enfin prendre l’ensorcelante culotte entre mes mains et la descendre sur ses cuisses ruisselantes.
Je plonge ma main dans sa bouillante intimité et m'y attarde. J'arrache enfin mes doigts pour reprendre l'inexorable fessée, jusqu'à ce qu'elle jouisse abondamment.
Elle reste un moment inerte. Après un long moment, ma paume se meut. Elle frémit en rythme. Je la caresse plus fort. Elle m'encourage en arquant son bassin. Je tente une claque. Elle est accueillie par un doux "Oui".
Ce n'est que deux orgasmes plus tard qu'elle se relève brusquement.
- Il faut que l'on prépare la séance.
- Bien sûr
- Tu ne me feras jouir qu'une fois. Cela sera suffisant.
- C'est comme tu veux.
- Cela laissera de la place à la discussion. Et je suis sûre qu'une autre femme voudra aussi essayer.
Tout ça m’enchante. J’attends impatiemment le jour J qui finit par arriver.
J'ai entendu dire que "il n'y a que les mauvais acteurs qui n'ont pas le trac". Je dois donc en être un excellent puisque j'ai un trac fou !
C'est donc le cœur battant que j'arrive à l'hôtel où a lieu ce séminaire. C'est le genre d'établissement fonctionnel que je n'aime pas. Heureusement, Amanda vient m'accueillir à la réception et illumine le lieu de sa présence rayonnante. Elle a troqué la robe indigo pour une de couleur rouge encore plus sensuelle. Mon trouble augmente encore. Elle le voit et prend ma main délicatement.
- Tout va bien se passer.
Elle me conduit ainsi vers le centre de conférences. La salle est emplie de femmes toutes vêtues de la même couleur écarlate. Robes et jupes sont de forme et de longueur différentes. Toutes mettent merveilleusement en valeur leur féminité. À la vue de tant de grâces, je me sens soudainement très à mon aise. Mon appréhension s'est envolée. Je m'installe sur le canapé qui a été spécialement installé. Amanda prend la parole expliquer à ses consœurs pourquoi elle m’a invité. Elle a eu l’occasion d’expérimenter elle-même la spiritualité de la fessée érotique. Je sens que le souvenir de notre épique séance la trouble. Elle cherche ses mots, a de la peine à conclure. Je me dirige vers elle.
- Et si on commençait directement par une démonstration ?
Prise de court, elle regarde l'assistance où l'on entend quelques “Oui !".
Je la prends par la main et la conduis sur le canapé où elle se laisse se retourner voluptueusement. Je la cajole sur les genoux, tout en expliquant à voix haute que c'est toujours ainsi que je commence une séance de fessée érotique. L'audience est très attentive. Je continue comme j'en ai l'habitude, mais en commentant chaque étape : claques sur la robe, détroussage, tapes sur la chair mise à nu, lent déculottage, plongée dans son intimité, nouvelles caresses... Je me tais en portant l'estocade finale, et la fesse copieusement jusqu'au cri de jouissance qui la fait se secouer dans tous les sens. Les femmes applaudissent. Je salue et relève Amanda en lui murmurant à l'oreille "on continuera plus tard". Elle acquiesce en souriant. Je regarde l'assistance et demande si elles ont des questions. Elles fusent :
- Est-ce que vous faites toujours jouir les femmes avec la fessée?
Ce n'était pas le cas au début, mais aujourd'hui, oui.
- Est-ce que vous vous faites payer pour ces séances ?
Je ne demande rien, mais j'accepte une petite enveloppe.
- À combien de femmes avez-vous donné la fessée ?
Je n'ai pas compté... Disons plusieurs dizaines !
Amanda sort finalement des limbes.
- Assez parlé. Il est temps d'un nouvel exercice pratique… Qui est volontaire ?
Les femmes se regardent entre elles. L'une finit par lever doucement la main.
- Isis !
Une belle femme rousse se lève. Elle porte une robe assez cintrée qui lui va jusqu'aux genoux. C’est plus proche des tenues habituelles de mes complices. Elle se courbe avec grâce sur mes genoux. La fessée se passe radieusement. Elle jouit sous de nouveaux applaudissements.
Amanda reprend la parole :
- En fait, je veux préciser qu'en général Arnaud ne fait pas jouir ses complices qu'une fois.
-- Non, je ne me limite effectivement pas seulement à un orgasme... Ce serait tellement dommage (rires dans l'assistance). Deux sont un minimum, en général trois, mais ça peut aller jusqu'à six, voire plus.
Une femme lève la main :
- Et vous, vous ne jouissez jamais ?
- Je jouis de la jouissance de l'autre. Et c'est un plaisir inimaginable que de sentir l'orgasme d'une femme quand elle est le bassin contre mes genoux. J'en sens chaque vibration... Sans parler du parfum qui monte jusqu'à mes narines... Tout cela est une jouissance en soi. Et je crois que c'est quelque chose de très spirituel.
Amanda reprend la parole.
- Tout à fait d'accord avec toi. C'est justement pour cela que j'ai décidé d'inviter à notre événement. On approche malheureusement de la fin. Veux-tu dire quelque chose pour conclure ?
- Oui, en fait, j'aimerais terminer comme j'avais prévu en fait de commencer…
Je fais un signe à Amanda de projeter la photo prévue. J'explique avec beaucoup d'emphase à quel point je trouve le derrière féminin sublime, et que pour moi la fessée est un applaudissement pour rendre hommage à cette pure merveille.
Amanda prend la parole.
Merci pour cette louange si vibrante à notre partie occulte… Si j’ose dire…. Je vous propose de conclure cette séance en applaudissant à notre tour Arnaud.
Toutes les femmes claquent des mains à tout rompre. Je suis très ému et me joins à elles.
Une femme répondant à l'exquis nom d’Amanda avait eu vent de mes activités. Elle m'a écrit pour me proposer de participer au prochain séminaire qu'elle organisait pour son groupe de femmes. Le thème de ces rencontres était la sexualité sacrée.
J'étais aussi étonné que troublé, mais totalement ravi.
J'ai toujours estimé que ma façon de pratiquer la fessée érotique avait dimension spirituelle : l'abandon, le dévouement absolu, l'oubli de l'ego dans la quête idolâtre du plaisir de l'autre... Tout cela va bien au-delà de la recherche d'un plaisir passager ou de l'assouvissement d'un fantasme.
Pour moi qui adore les femmes, parler de ma passion devant un auditoire exclusivement féminin serait évidemment un enchantement.
Amanda suggérait que ma présentation se compose en trois parties :
- Un exposé avec des projections de diapositives.
- Un dialogue avec l’auditoire.
- Une démonstration pratique.
Je lui ai immédiatement signifié mon accord. Elle m'a proposé un rendez-vous pour en parler.
Lorsque j'arrive chez elle, je découvre une superbe femme aux formes sculpturales. Son teint et sa longue chevelure bouclée me font penser qu'elle est d'origine orientale. Elle porte une longue et vaste robe indigo ornée de fils d'or. Les plis se croisent au niveau du ventre et laissent ainsi un espace dévoilant son nombril ; ils se terminent en se nouant derrière sa nuque. Le décolleté est relié par des lanières et laisse voir la racine de ses opulents seins. Son visage est savamment maquillé : yeux soulignés de noir et de bleu, lèvres écarlates.
Le moins que l'on puisse dire est que je suis troublé. Elle m'invite à m'asseoir sur un pouf et me propose un thé à la menthe. Quand elle prend place en face de moi, sa robe doublement fendue s'écarte. Elle ne se prive pas d'exhiber ses magnifiques cuisses. Tout cela est insolite pour moi et j'avoue être assez intimidé. Son sourire espiègle montre qu'elle l'a parfaitement saisis. Elle m'explique en long en large ce qu'elle fait, le groupe de femmes qu'elle anime, sa dévotion à au féminin sacré dont elle se considère comme une prêtresse. Tout cela me passionne, mais j'avoue avoir de la peine à l'écouter, tant sa sensualité est envoûtante. Nous échangeons à propos de la dimension spirituelle de ma pratique qu’elle dit avoir pleinement perçue à la lecture de mon site. Nous en venons à ma présentation. Elle me demande si j'ai des images à projeter pour ma présentation. Je réfléchis et lui répond que le mieux serait d'illustrer mon propos avec une unique image d'un majestueux derrière féminin. Je lui montre l'image sur mon smartphone. Elle approuve.
Pour la deuxième partie, je répondrai à toutes les questions, sans limite. Je crois que j'arriverai à surmonter mon trouble et pourrai le faire aisément.
Pour la troisième partie, je lui confirme que je suis prêt à le faire. Mais il reste à trouver une partenaire. Je me vois mal demander cela à une de mes complices.
Avec un grand sourire, elle me déclare :
- J’ai trouvé la volontaire.
Elle continue à me regarder fixement. Je crois comprendre son intention. La gorge nouée, je demande :
- Vous ?
- Bien sûr! ... On pourrait faire une répétition tout de suite.
Quel bonheur de prendre cette splendide femme sur mes genoux !
Je caresse ses fesses à travers sa longue robe qui me change des habituelles jupes cintrées. C'est un peu plus ardu de trouver les points névralgiques, mais cela me plaît beaucoup. Je sens son excitation monter rapidement. La première claque est bien accueillie, elle est rapidement suivie d'autres. Je remonte fébrilement les longues étoffes pour découvrir finalement une délicieuse culotte faite également de tissage doré.
Je claque rapidement les espaces de peau nue pour enfin prendre l’ensorcelante culotte entre mes mains et la descendre sur ses cuisses ruisselantes.
Je plonge ma main dans sa bouillante intimité et m'y attarde. J'arrache enfin mes doigts pour reprendre l'inexorable fessée, jusqu'à ce qu'elle jouisse abondamment.
Elle reste un moment inerte. Après un long moment, ma paume se meut. Elle frémit en rythme. Je la caresse plus fort. Elle m'encourage en arquant son bassin. Je tente une claque. Elle est accueillie par un doux "Oui".
Ce n'est que deux orgasmes plus tard qu'elle se relève brusquement.
- Il faut que l'on prépare la séance.
- Bien sûr
- Tu ne me feras jouir qu'une fois. Cela sera suffisant.
- C'est comme tu veux.
- Cela laissera de la place à la discussion. Et je suis sûre qu'une autre femme voudra aussi essayer.
Tout ça m’enchante. J’attends impatiemment le jour J qui finit par arriver.
J'ai entendu dire que "il n'y a que les mauvais acteurs qui n'ont pas le trac". Je dois donc en être un excellent puisque j'ai un trac fou !
C'est donc le cœur battant que j'arrive à l'hôtel où a lieu ce séminaire. C'est le genre d'établissement fonctionnel que je n'aime pas. Heureusement, Amanda vient m'accueillir à la réception et illumine le lieu de sa présence rayonnante. Elle a troqué la robe indigo pour une de couleur rouge encore plus sensuelle. Mon trouble augmente encore. Elle le voit et prend ma main délicatement.
- Tout va bien se passer.
Elle me conduit ainsi vers le centre de conférences. La salle est emplie de femmes toutes vêtues de la même couleur écarlate. Robes et jupes sont de forme et de longueur différentes. Toutes mettent merveilleusement en valeur leur féminité. À la vue de tant de grâces, je me sens soudainement très à mon aise. Mon appréhension s'est envolée. Je m'installe sur le canapé qui a été spécialement installé. Amanda prend la parole expliquer à ses consœurs pourquoi elle m’a invité. Elle a eu l’occasion d’expérimenter elle-même la spiritualité de la fessée érotique. Je sens que le souvenir de notre épique séance la trouble. Elle cherche ses mots, a de la peine à conclure. Je me dirige vers elle.
- Et si on commençait directement par une démonstration ?
Prise de court, elle regarde l'assistance où l'on entend quelques “Oui !".
Je la prends par la main et la conduis sur le canapé où elle se laisse se retourner voluptueusement. Je la cajole sur les genoux, tout en expliquant à voix haute que c'est toujours ainsi que je commence une séance de fessée érotique. L'audience est très attentive. Je continue comme j'en ai l'habitude, mais en commentant chaque étape : claques sur la robe, détroussage, tapes sur la chair mise à nu, lent déculottage, plongée dans son intimité, nouvelles caresses... Je me tais en portant l'estocade finale, et la fesse copieusement jusqu'au cri de jouissance qui la fait se secouer dans tous les sens. Les femmes applaudissent. Je salue et relève Amanda en lui murmurant à l'oreille "on continuera plus tard". Elle acquiesce en souriant. Je regarde l'assistance et demande si elles ont des questions. Elles fusent :
- Est-ce que vous faites toujours jouir les femmes avec la fessée?
Ce n'était pas le cas au début, mais aujourd'hui, oui.
- Est-ce que vous vous faites payer pour ces séances ?
Je ne demande rien, mais j'accepte une petite enveloppe.
- À combien de femmes avez-vous donné la fessée ?
Je n'ai pas compté... Disons plusieurs dizaines !
Amanda sort finalement des limbes.
- Assez parlé. Il est temps d'un nouvel exercice pratique… Qui est volontaire ?
Les femmes se regardent entre elles. L'une finit par lever doucement la main.
- Isis !
Une belle femme rousse se lève. Elle porte une robe assez cintrée qui lui va jusqu'aux genoux. C’est plus proche des tenues habituelles de mes complices. Elle se courbe avec grâce sur mes genoux. La fessée se passe radieusement. Elle jouit sous de nouveaux applaudissements.
Amanda reprend la parole :
- En fait, je veux préciser qu'en général Arnaud ne fait pas jouir ses complices qu'une fois.
-- Non, je ne me limite effectivement pas seulement à un orgasme... Ce serait tellement dommage (rires dans l'assistance). Deux sont un minimum, en général trois, mais ça peut aller jusqu'à six, voire plus.
Une femme lève la main :
- Et vous, vous ne jouissez jamais ?
- Je jouis de la jouissance de l'autre. Et c'est un plaisir inimaginable que de sentir l'orgasme d'une femme quand elle est le bassin contre mes genoux. J'en sens chaque vibration... Sans parler du parfum qui monte jusqu'à mes narines... Tout cela est une jouissance en soi. Et je crois que c'est quelque chose de très spirituel.
Amanda reprend la parole.
- Tout à fait d'accord avec toi. C'est justement pour cela que j'ai décidé d'inviter à notre événement. On approche malheureusement de la fin. Veux-tu dire quelque chose pour conclure ?
- Oui, en fait, j'aimerais terminer comme j'avais prévu en fait de commencer…
Je fais un signe à Amanda de projeter la photo prévue. J'explique avec beaucoup d'emphase à quel point je trouve le derrière féminin sublime, et que pour moi la fessée est un applaudissement pour rendre hommage à cette pure merveille.
Amanda prend la parole.
Merci pour cette louange si vibrante à notre partie occulte… Si j’ose dire…. Je vous propose de conclure cette séance en applaudissant à notre tour Arnaud.
Toutes les femmes claquent des mains à tout rompre. Je suis très ému et me joins à elles.